L'auberge... Un endroit bien connu des grands buveurs de bières et autres alcool.
On y rencontrait le tavernier Roger, toujours là pour offrir les plus fabuleux alcools de la région, mais aussi Lucile, douce servante aux cheveux blonds comme les blés.
Le lieu était sans cesse emplie de rires, des histoires fabuleuses des guerriers venus là pour oublier leurs blessures de guerre.
Certains venaient même pour profiter des jeunes demoiselles qui venaient là pour offrir leur corps. Mais on ne disait mot là dessus. Les femmes de nos chers guerriers n'étaient guère loin. Accompagnées de leur rouleau de cuisine, elles veillaient à la fidélité de leur mari.
Ainsi une ambiance des plus festive régnait dans l'auberge du cochon siffleur.
Les tables rondes en bois, placées ça et là à travers la pièce ne désemplissaient pas. Sans cesse recouvertes des alcools qui se renversés devant l'agitation des guerriers, elles supportaient aussi les poids des plus aventureux qui venaient là, danser sur le bois qui craquetait sous leur poids.
Non loin de là, dans les ruelles de la vieille ville, on pouvait déjà apercevoir la silhouette d'une monture approcher à grand galop de la taverne. Ses pattes aux poils brun galopaient là sur les paves froids de la ville. Peu à peu, on pouvait reconnaitre les grandes cornes d'un talbuk brun.
Son cavalier, recouvert d'une longue cape qui couvrait une grande partie de son visage, descendit lentement de l'animal et scruta l'horizon avant de pénétrer dans la bâtisse.
La capuche retirée laissa tomber de longs cheveux bleus-verts recouverts d'un casque dont les pointes semblaient toucher le plafond en bois de la taverne.
Mais l'étranger restait tout de même caché de l'ombre qu'offrait le plafond bas de la salle.
Se n'est que lorsqu'on aperçu un jeune lion blanc, accompagné d'un faucon dragon rose, qu'on reconnu facilement les compagnons d'Elionae, chef des Cas Saoulés.
Son pas s'avança peu à peu du comptoir où deux hommes dormaient déjà sous l'influence de l'alcool.
-Bien le bonsoir à vous mes chers amis. Hey bien Roger, qu'as-tu donc servit à ces malandrins pour qu'ils dorment ainsi sur le vieux bois de ton auberge.
Le Tavernier ne put s'empêcher de rire devant a boutade de la dame. Puis comme à son habitude, il sortit une liqueur de cerise.
Roger connaissait le moindre goût de chacun de ses clients. Il était aimé de tous.
Elionae attrapa alors son verre et alla s'installer au second étage de la bâtisse avant d'installer quelques parchemins sur le bois de la table.
On reconnaissait là l'inventaire de la guilde, le noms des membres et autres affaires de a guilde.
Pensive, elle se plongeait alors dans la lecture de ses parchemins.